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RUBRIK

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Schweizer Gemeinde 5/14

RUBRIK

Randgebiete, sondern zu einer Verdich-

tung des Siedlungsgebiets umdie Halte-

stellen.

Quelle:

Limmattaler Zeitung/MLZ

Erscheinungsdatum:

10. April 2014

Viertelstunden Takt

zwischen Städten

Immer wieder wird eine bessere Vernet-

zung von Raumplanung und Verkehr

gefordert. Nun legt das Bundesamt für

Verkehr dar, wie das Raumkonzept

Schweiz und der Bahnausbau in Ein-

klang gebracht werden sollen. Die

Grundlagen für den Ausbauschritt 2025

bis 2030 der Bahn, der bis 2018 dem Par-

lament vorgelegt werden muss, enthält

eine Langfristperspektive für das Fahr-

planangebot. Diese sieht Viertelstun-

dentakte des Fernverkehrs auf den Ach-

sen Genf–Lausanne–Montreux, Thun–

Bern, Bern–Basel, Bern–Zürich–Winter-

thur, Zürich–Basel, Zürich–Brugg und

Zürich–Luzern vor. Laut dem Bundesamt

für Verkehr lässt sich daraus nicht ablei-

ten, dass auf all den Linien bis 2030 tat-

sächlich jede halbe Stunde ein schneller

Zug verkehrt. Indessen werde ein sol-

ches Angebot dort für sinnvoll erachtet,

in anderen von Zersiedelung bedrohten

Räumen jedoch nicht. Mit dieser Per-

spektive stärkt der Bund die Bande in-

nerhalb der Städteachse am Genfersee

und des erweiterten Städtevierecks zwi-

schen Bern, Basel, Zürich und Luzern.

Viertelstundentakte sieht der Bund auch

für die Kernbereiche der S-Bahnen

Genf, Lausanne, Bern, Basel, Luzern,

Zürich, St. Gallen und Tessin vor. Letzte-

res entspricht den Planungen mehrerer

betroffener Kantone.

Quelle:

NZZ Online

Erscheinungsdatum:

11. April 2014

Densification et

diverses stratégies

Densifier. C’est l’un des slogans les plus

entendus après les récentes votations

populaires sur les résidences secondai-

res (initiativeWeber) et l’aménagement

du territoire, sans parler de celle sur

l’immigration. Plutôt que d’éparpiller la

population sur le territoire, regardons

d’abord ce que l’on peut faire pour con-

centrer l’habitat dans les villes. Cette vo-

lonté s’affiche autant à droite qu’à gau-

che. Mardi, les Verts ont présenté leur

stratégie pour densifier intelligemment

les régions urbaines en y ménageant

des espaces verts rendant la vie agréa-

ble. Voici quinze jours, l’Union suisse

des arts et métiers (USAM), que l’on ne

peut soupçonner de connivence avec

les écologistes, a délivré un message

très similaire. S’il y a convergence d’ob-

jectifs, il y a en revanche divergence de

moyens. Coprésidente des Verts, Adèle

Thorens Goumaz annonce le dépôt de

plusieurs interventions parlementaires

lors de la session spéciale de mai. L’une

demande que «les communes ne puis-

sent prévoir de nouveaux terrains à

bâtir qu’après avoir étudié et exploité le

potentiel de densification existant». Il

s’agit de préserver les terres cultivables

en développant les centres, par exem-

ple «en ajoutant un étage dans les quar-

tiers qui s’y prêtent ou en créant de l’ha-

bitat groupé». L’exemple de la tour

Taoua à Lausanne, refusée en votation

populaire, montre selon elle que «les

tours ne sont pas la meilleure manière

de densifier».

Source:

Le Temps

Date de parution:

23 avril 2014

Pas de

souplesse

«Les plans d’agglomération

sont en danger», lance

Jacqueline de Quattro, la

cheffe du Département du

territoire et de l’environne-

ment. En cause, l’ordon-

nance d’application de la Loi

fédérale sur l’aménagement

du territoire (LAT), publiée

mercredi par le Conseil fé-

déral et qui entrera en vi-

gueur le 1

er

mai. Le texte ne

reprend pas toutes les pro-

messes faites aux Vaudois

par la conseillère fédérale

Doris Leuthard pendant la

campagne sur la loi fédé-

rale.

La levée de boucliers des

Cantons lors de la présenta-

tion du projet d’ordonnance,

l’automne dernier, a permis

d’obtenir quelques ajuste-

ments. Ainsi, jusqu’à ce que

leurs plans directeurs soient

avalisés par le Conseil fédé-

ral, les Cantons ne seront

pas obligés de compenser

tout de suite la mise en zone

à bâtir de terrains utilisés

pour des équipements pu-

blics urgents (école ou hôpi-

tal par exemple).

«Rien n’est prévu explicite-

ment pour les pôles de loge-

ment dans les aggloméra-

tions, regrette la conseillère d’Etat. La

Confédération ne peut pas d’un côté

donner une bonne note au PALM (ndlr:

projet d’agglomération Lausanne-Mor-

ges), et le prétériter par cette ordon-

nance! Les spécificités du développe-

ment de notre canton, avec son extraor-

dinaire croissance démographique et

économique, ne sont pas toujours per-

çues à Berne.» Jacqueline de Quattro a

eu l’occasion de s’en expliquer hier au-

près de la directrice de l’Office fédéral

de l’aménagement du territoire, Maria

Lezzi. De nouvelles rencontres sont pré-

vues. Pour éviter un blocage des projets

d’agglomération, la conseillère d’Etat

souhaite les intégrer directement dans

le Plan directeur cantonal (...). «Si le

Plan directeur cantonal est contraire à la

Loi fédérale sur l’aménagement du ter-

ritoire, il sera retoqué; je souhaite donc

dialoguer avec la Confédération de ma-

nière constructive», affirme la ministre.

Source:

24 heures

Date de parution:

5 avril 2014

REVUE DE PRESSE

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Bild: H. Zaremba, pixelio.de