DES LIQUIURS.
8t
ou
à
employer dans les liqueurs.
La
présence des sels
calcaires, si communs dans les eaux de
puits ,
les rend
dures et crues; elles caillebottent le savon ou le concen–
trent en flocons, durci sent les légume et ralentissent
la dirre. lion au lieu de l'accélérer. Dans les condition·
fâcbeu e que nous signalons, quand on e t dépourvu
d'eau de bonne qualité, il faut la faire bouillir, puis la
décanter aprè on refroidis em nt et la filtrer.
De toutes le eaux potables, la plu pure que nous four–
nit la nature est elle que l'on peut recueillir de la pluie
en ra e campa ne dans de larges vases, mais seulement
a1nè que l'air a été purifié, par quelques ondées, des ma–
tières l rre tres que les ·rnnts emportent quelquefois
à
de hauteur con ·idérable . L'eau des pluie qui pas·e
ur l toits et que l'on recueille au moyen des gouttiè–
r , n'
t
pas pure à beaucoup près : elle est chargée de
éltnite
qu'elle a di oute des tuile ou du plâtre qui se
troUTe sur le faîte de maisons.
L'eau e
t
l'intermédiaire de toutes les préparations du
Liquori te,
il
d ra s'attacher à ne se servir que de
celle dont la pureté el la limpidité serontlc plus irrépro–
chable . Ile l donc indispensable qu'elle soit tlltrée avant
d'être employée dans les opération diverses.