Journal C'est à dire 217 - Janvier 2016

Le journal gratuit du Haut-Doubs

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11 janvier 2016 N° 217

Le journal du Haut-Doubs - www.c-a-d.fr

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1, RUE DE LA BRASSERIE - B.P. 83 143 - 25503 MORTEAU CEDEX - T ÉL . 03 81 67 90 80 - redaction@publipresse.fr I NFORMAT ION - R ÉDACT ION - PUBL I C I TÉ - ANNONCE S

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L’ÉCONOMIE FRONTALIÈRE FAIT PART DE SES DOUTES

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S O M M A I R E

Le futur visage de Morteau. Plus de 400 nouveaux logements doivent être construits d’ici 15 ans à Morteau selon le plan d’amé- nagement approuvé par les élus. (page 4) 1 660 habitants de plus. Grâce au travail frontalier, la population du canton de Morteau est en forte hausse depuis cinq ans. La commune des Fins a franchi la barre des 3 000 habitants. (page 7) Nouvelles têtes à “La Couronne”. L’hôtel-restaurant du Russey, vide depuis le départ en retraite de ses prorpiétaires, est reconverti en appartements. La pression immobilière a eu raison de l’activité commerciale. (page 26) Notre cahier “formation”. En début d’année, c’est le moment pour les jeunes de choisir leur avenir professionnel. Gros plan sur des formations qui mènent à un emploi. (pages 32 à 37)

(Le dossier en pages 19 à 24)

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R E T O U R S U R I N F O

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Des sages-femmes de la maternité de Pontarlier formées à l’hypnose

ÉDITORIAL

L’actualité bouge, les dossiers évoluent. C’est à dire revient sur les sujets abordés dans ses précédents numéros, ceux qui ont fait la une de l’actualité du Haut-Doubs. Tous les mois, retrouvez la rubrique “Retour sur info”. Les Fins conserve l’emprise foncière de la route des Microtechniques

Volonté “Esprit du 11-Janvier, es-tu encore là” ? Un an après les dramatiques événements qui ont provoqué, com- me jamais auparavant, une vague de mobilisation dans toute la France, citoyens et élus larmoyant de concert sur la liberté d’expression, l’unité natio- nale et le vivre ensemble, qu’en res- te-t-il ? Pas grand-chose hélas. Et ce ne sont pas les événements plus récents de novembre qui vont appor- ter la sérénité que tout le monde appelle de ses vœux. Pour preuve, les résultats des Régionales de décembre où les mécontents qui cris- tallisent leur désarroi dans le vote F.N. ont raflé la mise. En cette nouvelle année, il ne demeure pourtant pas superflu de souhaiter à tous une cuvée 2016 beaucoup plus délectable que le cru 2015 qui s’est refermé comme il avait commencé, dans l’effroi. Il est vital en effet de continuer à espé- rer même si les raisons de déses- pérer paraissent a priori plus nom- breuses. En effet, il ne saurait être de posture plus délétère que de croi- re que le présent est immuable et que la situation ne peut qu’évoluer défavorablement. Les présidents des nouvelles grandes Régions viennent d’être installés dans leur fauteuil. Tous, sans exception, ont déclaré avoir com- pris le message que les électeurs leur avaient adressé en décembre. Cer- tains ont même eu la lucidité, enfin, de devoir ne consacrer leur énergie qu’à la nouvelle fonction à laquelle ils avaient été élus, à la faveur de ce fameux front républicain. À eux maintenant de transformer en actes les saines paroles. À eux maintenant de s’attaquer de front aux ques- tions fondamentales qui rongent la société française et ont abouti à son délitement. À eux d’impulser l’élan nouveau qui redonnera sens à leur action aux yeux des citoyens, et per- mettra de regagner de la légitimité. Il serait néanmoins fâcheux de ne compter que sur un exécutif régio- nal fraîchement élu pour résoudre les difficultés quotidiennes liées aux mis- sions des Régions que sont la for- mation ou le développement écono- mique. Il faudrait dans le même temps que ces mêmes citoyens arrêtent de penser que les solutions à tous leurs maux viendront d’en haut. Une des raisons du délitement de la société, et de l’éloignement progressif du citoyen vis-à-vis de la politique s’explique sans doute en partie par cette propension à tout attendre de la collectivité alors qu’avec un mini- mum de volonté ou de courage, c’est d’abord la manière dont chacun pour- rait apporter à la collectivité qui devrait guider tout citoyen. Jean-François Hauser est édité par Publipresse Médias 1, rue de la Brasserie B.P. 83 143 - 25503 MORTEAU CEDEX Tél. : 03 81 67 90 80 - Fax : 03 81 67 90 81 E-mail : redaction@publipresse.fr Directeur de la rédaction : Jean-François HAUSER Contact commercial : Anthony Gloriod au 03 81 67 90 80 Rédaction : Édouard Choulet, Thomas Comte, Frédéric Cartaud, Jean-François Hauser. Imprimé à Nancy Print - I.S.S.N. : 1275-8825 Dépôt légal : Janvier 2016 Crédits photos : C’est à dire, R. Thenadey, Ville de Morteau. Mots fléchés : Jean-Marie Steyner. A collaboré à ce numéro : David Aubry.

L’ an dernier, les comédiens amateurs Fabrice Cuenot et Daniel Hugel se sont retrouvés sur scène pour inter- préter une comédie qu’ils ont adaptée de la pièce de Philip Jossrand, “L’artiste, c’est pas du cochon.” Le duo comique inattendu a rencontré le suc- cès lors des cinq représenta- tions (3 à Gilley et 2 à Mont- lebon) qu’il a donné au béné- fice de l’association Nos enfants d’ailleurs qui œuvre depuis 2011 pour un accom- pagnement éducatif personna- lisé des enfants souffrant d’autisme. Grâce au théâtre et à la solida- rité de chacun, Fabrice Cuenot et Daniel Hugel viennent de rever- ser 3 700 euros à l’association. l’hypnose comme moyen de lutte contre la douleur chez leurs patients. “Plus d’une cin- quantaine de personnes au total ont été formées à cette tech- nique” indique le docteur Alain Girod, responsable de l’unité du traitement de la douleur au Centre Hospitalier de la Haute Comté. Il est à l’origine de cette forma- tion certifiante qu’il a créé en col- laboration avec Isabelle Crois- sant, hypnothérapeute indépen- dante à Pontarlier et Villers-le- Lac. “Tous les deux ans, je tra- vaille sur un nouveau pôle de recherche. La maîtrise de la dou- leur par l’hypnose m’intéressait. J’ai mené l’expérience avec des mamans qui allaient accoucher. J’ai eu de très bons retours. J’en ai parlé à Alain Girod. Ainsi est née cette formation” raconte Isa- D epuis cinq ans, des pro- fessionnels de santé se forment à l’hypnoanalgésie à l’hôpital de Pontarlier. Dans le cadre de cours spécifiques, les étudiants apprennent à maîtriser

Cette somme contribue à finan- cer, jusqu’au mois d’octobre, 945 heures d’accompagnement éducatif personnalisé à domici- le de six enfants souffrant d’autisme. Ce service qui implique deux psychologues spé- cialisés dans l’analyse appliquée du comportement est unique en Franche-Comté. Cette année, la chaîne de soli- darité se renforce encore autour de l’association Nos enfants d’ailleurs. Elle vient de recevoir le soutien de l’entreprise agroa- limentaire Clavière qui a été sen- sible à son action. Entre le 8 février et le 1er avril, le char- cutier de Dole reversera à l’association 20 centimes d’euro sur chaque saucisse de Morteau Clavière vendue en magasin. belle Croissant qui se félicite de l’ampleur qu’elle a pris en cinq ans. La prochaine session démar- re ce mois-ci. Au départ, ce dispositif a été mis en place pour les sages-femmes de la maternité afin de leur per- mettre, grâce à l’hypnose, d’apaiser les douleurs des futures mamans. “Il y en a quelques-unes qui accouchent sous hypnose. Cela ne remplace pas la péri- durale, mais cela fait partie d’un ensemble d’outils qui permettent de soulager la douleur” prévient le docteur Alain Girod. La moitié des sages-femmes de la maternité de Pontarlier maî- trisent aujourd’hui l’hypnoanalgésie et sont en mesu- re de proposer une consultation hypnose au 8 ème mois aux femmes enceintes qui le souhaitent, afin qu’elles puissent utiliser cette technique lors de l’accouchement. Désormais, le panel des profes- sionnels de santé qui suivent la formation dispensée à l’hôpital de Pontarlier s’élargit aux infir- mières et aux médecins.

D ans le cadre de l’élaboration de son Plan Local d’Urbanisme (P.L.U.), la com- mune des Fins conserve l’emprise foncière de la route des Micro- techniques conformément au tra- cé qui avait été imaginé au début des années quatre-vingt. Comme cela avait été prévu initialement, l’infrastructure routière passerait donc, si elle devait voir le jour, à proximité de la piscine, plongeant ensuite dans le Val deMorteau par le flanc Est avant de faire la jonc- tion avec la route de Villers-le-Lac.

C’est à la demande du Conseil départemental du Doubs à l’origine du projet que la muni- cipalité maintient, pour cet amé- nagement, la réserve foncière suffisante dans le document d’urbanisme qu’elle prépare. “Une personne du service terri- torial d’aménagement, ainsi qu’une autre de la Chambre d’agriculture assistent à nos réunions préparatoires du P.L.U.” précise le maire des Fins Bruno Todeschini. Le document sera soumis à enquête publique avant

d’être adopté en mars 2017 si le calendrier est respecté. Si la mairie des Fins conserve l’emprise foncière, cela signifie que le Département n’a pas abandonné le projet de route des Microtechniques. À défaut d’être tombée aux oubliettes, sa réalisation est de toute maniè- re soumise à des facteurs finan- ciers et environnementaux. Alors qu’il manque 30 millions d’euros au Conseil départemental pour boucler son budget, on voit mal comment il pourrait s’engager dans une telle entreprise à moyen terme. Ensuite, un tel tracé se heurterait à des problématiques environnementales puisqu’il tra- verse les terres agricoles et touche à l’espace naturel sanc- tuarisé du marais de la Tanche. C’est pourquoi cette réserve fon- cière ne ferme pas la porte à l’étude d’autres tracés pour cet- te route des Microtechniques.

La route des Micro- techniques devrait aboutir à la Combe- Geay avant de rejoindre Villers-le- Lac.

3 700 euros pour l’association Nos enfants d’ailleurs

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Fabrice Cuenot (au centre) et Daniel Hugel (à droite) entourés des représentants de l’association Nos enfants d’ailleurs à qui ils ont remis deux chèques de 2 000 euros et 1 700 euros.

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V A L D E M O R T E A U

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Morteau Le futur visage de Morteau

Le Plan local d’urbanisme (P.L.U.) adopté par les élus en fin d’année dernière dessine le futur visage de la ville. Un projet d’aménagement et de développe- ment durable a été établi.

accueil de près de 450 nouveaux habitants sur les 15 prochaines années.” Cela signifie qu’il sera nécessaire de mobiliser sur ces 15 prochaines années quelque 420 nouveaux logements, en réhabilitation ou en construc- tion, pour accueillir ces nou- veaux habitants, sachant qu’un logement sert rarement à héber- ger plus de deux personnes désormais. Autre nouveauté : les élus mor- tuaciens ont dit stop à l’étalement urbain. Si 24 hec- tares de terrains communaux ont été urbanisés en à peine dix ans entre 2002 et 2012, le déve- loppement urbain futur devrait se cantonner à “des espaces de renouvellement de 4 hectares

L a Ville de Morteau avait engagé l’an dernier un vaste diagnostic com- munal destiné à mieux connaître les évolutions démo- graphiques, économiques et en terme de logements de la com- mune sur les dix dernières années. Sur la base de ce dia- gnostic, un projet d’aménagement et de dévelop- pement durable (P.A.D.D.) a été établi, qui fixe les objectifs des politiques publiques d’urbanisme, du logement, des

transports et des déplacements, d’implantation commerciale, d’équipements structurants, de développement économique, tou- ristique et culturel, de lutte contre l’étalement urbain… Ce plan a été voté en fin d’année dernière. Selon ce P.A.D.D. qui donne une vision de la ville sur les 15 pro- chaines années, un objectif de modération de la consommation d’espaces a été décidé. “La popu- lation à atteindre d’ici 2030 est de 7 230 habitants, soit un

centre départemental des routes. Quatrième point d’attention : les parcelles libres de construc- tion situées rue Pasteur près de l’enseigne commerciale, qui s’inscrivent dans un secteur den- se d’immeubles et dont les amé- nagements futurs devront per- mettre tout à la fois la densi- fication urbaine et la création de nouveaux cheminements doux. Un nouvel immeuble est en cours de construction sur ce secteur. Le dernier secteur en vue pour la municipalité est celui de la Brasserie, en entrée sud-ouest de ville, “dont le déve- loppement devra être maîtrisé pour mieux marquer l’entrée de ville tout en conservant le patri- moine architectural historique de qualité.” La Ville estime aus- si que ce site est également inté- ressant pour développer à ter- me un parking de covoitura- ge, en lieu et place de celui réa- lisé pour répondre à des besoins urgents au sein du pôle gare.

environ, les zones d’extension représentant un potentiel à moyen terme de 5,3 hectares.” Le conseil municipal de Mor- teau a retenu trois axes de déve- loppement. Le premier consis- te à proposer un développement urbain cohérent, dans les limites de l’urbanisation actuelle, et une offre de logements diversi- fiée en maintenant le dévelop- pement de la ville dans l’enveloppe urbaine actuelle ou en continuité directe avec cel- le-ci et en facilitant le dévelop- pement urbain de la commu- ne en priorité dans les dents creuses et en réhabilitation de l’existant. L’axe 2 consiste à développer l’attractivité, péren- niser les emplois et l’activité agricole, diversifier les modes de transport. L’axe 3 enfin doit “valoriser les entités paysagères existantes et le patrimoine struc- turant, en prenant en compte les contraintes liées à l’urbanisation de la commune et affirmer le potentiel touristique vert de la A lors que l’on assiste dans le Haut-Doubs à une recrudescence des cam- briolages, la commune des Fins rejoint le dispositif “Voisins Vigi- lants”. Ce système invite les habitants à veiller sur leur quar- tier et à signaler les mouve- ments suspects, les comporte- ments étranges où les voitures qui rôdent. L’objectif de cette surveillance citoyenne forma- lisée dans le cadre de ce dis- positif est de repérer d’éventuels malfaiteurs et de les dissuader de commettre un forfait. Actuellement, dans le Doubs, une cinquantaine de communes ont adopté le principe. Les Fins est la première dans le Val de Morteau à le faire. Outre les petits panneaux jaunes situés à l’entrée de l’agglomération qui indiquent au visiteur qu’il pénètre dans un périmètre “Voi- sins Vigilants”, tout se passe sur Internet. Les habitants de la commune en question qui le souhaitent sont invités à s’inscrire sur un site dédié (N.D.L.R. : ils devront justifier qu’ils résident bien dans le village). Le jour où l’un d’eux repère quelque chose de suspect, il renseigne la plateforme qui

ville.” Cinq secteurs de la ville feront l’objet dans les années à venir “d’une attention plus particu- lière” promet la Ville. Le pre- mier d’entre eux est le pôle gare, site principal du projet de déve- loppement, sur les anciennes friches ferroviaires. C’est là que sera notamment édifiée la nou- velle salle des fêtes. “La situa- tion de ce site à proximité du centre-ville permet d’envisager une urbanisation qualitative, dans une démarche de déve- loppement durable” notent les élus. Le deuxième secteur est la partie du site historique de l’entreprise Bourbon (ancien- nement Fabi), vers l’hôpital. “Le renouvellement urbain de ce sec- teur participera à mieux relier le nord de la commune au centre- ville” estime la municipalité. Troisième secteur : le chevet de l’Église, le long de la rue de la Glapiney, dans le cadre de la délocalisation en cours des ser- vices du centre de secours et du

Le plan prévoit quelque 420

nouveaux logements dans les 15 prochaines années.

Sécurité Des “Voisins Vigilants” aux Fins La commune des Fins est la première dans le Val de Morteau à adopter le dispositif “Voisins Vigilants”. Ce système de surveillance citoyenne fait appel à l’attention de chacun pour décourager des malfaiteurs de commettre un forfait.

Déco

Aménagements extérieurs

Outillages

alerte aussitôt par S.M.S. tous les autres correspondants d’un danger potentiel. Les informa- tions fournies par les témoins sont ainsi collectées et peuvent renseigner les services de gen- darmerie le cas échéant. “Voisin Vigilants” est une manière d’aider les gendarmes dans leur travail. On peut leur faire gagner du temps dans leurs recherches. Grâ- ce à cela, deux cambrioleurs ont été arrêtés aux Fins” souligne le maire Bruno Todeschini. Selon nos informations, “Voi- sins Vigilants” permettrait de faire reculer de 20 à 40 % le nombre de cambriolages dans les quartiers où le système est en vigueur.

Mais au-delà de son caractère sécuritaire, cette surveillance citoyenne a plus globalement pour but de renforcer la soli- darité entre les habitants. “L’intérêt est d’amener les gens à être attentifs à leur voisin, une personne âgée par exemple, qui peut avoir besoin d’aide. “Voi- sins Vigilants” est une manière d’encourager cette solidarité naturelle qui existait avant dans nos villages” remarque Bruno Todeschini. Pour en savoir plus, la mairie des Fins organise une réunion publique d’information sur le sujet le mardi 12 janvier à 20 heures à la salle polyvalen- te.

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Deux cambrioleurs ont été arrêtés aux Fins grâce à ce dispositif.

V A L D E M O R T E A U

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Les Fins L’inquiétude pèse à nouveau sur l’entreprise T.W.C.

Spécialisée dans la distribution d’articles griffés, l’entreprise T.W.C. pourrait perdre la distribution de la marque horlogère Ice Watch qui lui assure jusqu’à présent une grande partie de son activité.

T.W.C. est le distributeur historique sur le marché français des montres Ice Watch.

L’ entreprise T.W.C. aux Fins pourrait perdre la distribu- tion des montres Ice Watch sur le marché français. Selon nos informations, elle a obtenu un répit de six mois de la part de la marque horlogère belge qui fabrique ces pro- duits tendance grand public. Passé ce délai, The Watches Connection (T.W.C.) saura si elle pourra continuer à dis- tribuer la marque dans tous les points de vente de l’Hexagone. “Toutes les Ice Watch vendues dans le commerce en France passent par notre plateforme Ice Watch dont la notoriété n’a pas ces- sé de grandir ces six dernières années représenterait environ 50 % du chiffre d’affaires de la société T.W.C. Ces montres sont donc un produit phare de l’entreprise qui est spécialisée dans la distribution d’articles griffés. À l’évidence, la disparition de Ice Watch du portefeuille de la société finnoise la déstabiliserait. Pourquoi cette marque envisage-t-elle de rompre les ponts avec ce parte- naire historique qui l’a accompagnée durant toute son ascension ? “Elle a sans doute pris peur suite aux événe- ments qui ont secoué l’entreprise en aux Fins. On reçoit les montres, on les expédie et on assure le S.A.V.” résument des sala- riés de l’entreprise. La distribution des produits

2014” confie-t-on du côté du person- nel. On se souvient à l’époque de la mobilisation des salariés qui s’opposaient alors à la fermeture de l’usine des Fins dont l’ensemble de l’activité devait être transféré à Morez, sur le site du lunetier L’Amy qui avait formé un groupe avec T.W.C. Depuis, l’eau a coulé sous les ponts. Ce projet de restructuration indus- trielle a été abandonné, The Watches Connection est resté dans ses murs aux Fins et l’ambiance de travail est plus apaisée. Mais le sujet Ice Watch à compenser la perte de cette marque horlogère si elle devait se voir pri- vée de sa distribution, “L’idéal serait de retrouver une marque forte. Nous devrons également nous concentrer davantage sur les autres marques importantes que nous distribuons com- me Ted Lapidus, Clyda, Cerruti ou Christian Lacroix” note une source proche du dossier. Pour apporter des liquidités, T.W.C. envisagerait égale- ment de céder sa participation dans la filiale M.G.I. par l’intermédiaire de laquelle elle distribue en France et en Allemagne des marques comme Lacos- te. nourrit à nouveau un climat d’inquiétude au sein de l’entreprise. L’enjeu pour T.W.C. sera de parvenir d’ici l’été prochain

“Retrouver une marque forte.”

En bref…

Racontotte Le nouveau numéro de La Racontotte, revue naturaliste franc-comtoise, vient de sortir. Au sommaire de ce numéro 103, quelques célébrités comtoises, un article sur le patois, de la cuisine insolite aux plantes sauvages, un cours de vannerie… 5 euros dans tous les kiosques. Édition Le numéro 3 du magazine “LʼEsprit comtois” est sorti. Il sʼintéresse à la neige (attendue) avec un dossier de 27 pages. Lʼoccasion de découvrir lʼhistoire et lʼavenir climatique de lʼenneigement, les peintres et artistes comtois face à la neige, lʼhistoire de la station de Métabief, etc. En vente 7 euros chez tous les marchands de journaux. Concert Concert violon et orgue dimanche 31 janvier à 17 heures au Temple du Locle organisé par les Amis des concerts dʼorgue du Locle. Avec Alexandre Dubach au violon et Marc Fitze à lʼorgue. Œuvres de Vivaldi, Bach, Vitali, Saint- Saëns, Bazzini et Rachmaninov. Entrée libre, collecte recommandée.

V A L D E M O R T E A U

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1 660 habitants en plus sur le canton Morteau Le travail frontalier a permis d’inverser, selon l’I.N.S.E.E., la faible attractivité migratoire du département. La population du canton a progressé de 6,8 %.

S i le Doubs est le dépar- tement qui gagne le plus d’habitants en Bour- gogne-Franche-Comté, il doit en partie sa position de lea- der au dynamisme de la bande frontalière.Tous les nouveaux can- tons qui bordent la frontière suis- se enregistrent une augmenta- tion de leur population sur la période 2008-2013, à l’exception de celui de Pontarlier qui voit son nombre d’habitants baisser légè- rement d’1,22 % (la capitale du plus dynamiques sur le plan démographique. Entre 2008 et 2013, sa population a pro- gressé de 6,8 % (+ 1 660 habi- tants) pour s’établir à 26 084 habitants. Une hausse qui est toutefois moins spectaculaire que les cantons de Frasne (+ 9,61 %) ou de Valdahon (+ 9 %) sur la même période. Néanmoins, dans les détails, les communes du canton de Mor- teau ont enregistré une aug- Haut-Doubs perd plus 1 000 habitants,mais les proches communes en gagnent). Le nouveau canton de Morteau est un des

mentation significative de leur population. Entre 2008 et 2013, elle est passée à Morteau de 6 499 habitants à 6 803, de 2 816 aux Fins à 3 022, de 2 017 au Russey à 2 245, de 4 537 à Vil- lers-le-Lac à 4 680 et de 1 919 à Montlebon à 1 984. En résumé, la bande frontaliè- re dans son ensemble gagne des habitants. Contrairement à ce qui est observé à l’échelle de la région Bourogne-Franche- Comté, cette évolution n’est pas d’autres régions (du Nord en particulier) qui élisent domici- le ici après avoir trouvé du tra- vail de l’autre côté de la fron- tière. “La faible attractivité migratoire s’est inversée dans le Doubs grâce au travail fronta- lier. Cela a stoppé le déclin migra- toire de ce département” résu- me Patrick Pétour, directeur de l’I.N.S.E.E. Bourgogne-Franche- Comté. T.C. seulement le fruit du solde naturel. Le Haut- Doubs voit sa popu- lation augmenter grâ- ce à la Suisse qui atti- re des personnes

La commune des Fins a franchi la barre des 3 000 habitants.

Le Doubs, le plus dynamique des huit départements

D ans la nouvelle région Bourgogne-Franche-Com- té, le Doubs est le plus dynamique des huit départe- ments sur le plan de lʼévolution de la population. Les derniers chiffres du recensement que vient de publier lʼI.N.S.E.E. montrent que ce territoire a gagné 10 635 habitants entre 2008 et 2013, soit une augmentation de 2,03 % sur la période de cinq ans. Cʼest le Territoire de Belfort qui pointe en seconde position. Il gagne 2 360 habitants, soit une progression dʼ1,66 %. Dans ce classement, le premier département bourgui-

ment peu attractive. Mais il faut nuancer ce constat en fonction des départements” remarque Patrick Pétour, directeur de lʼI.N.S.E.E. Bourgogne-Franche- Comté dont le siège est à Besan- çon. Il précise : “Notre région représente 4,4 % de la popula- tion métropolitaine. Cʼest la 11 ème région de France. Elle nʼa der- rière elle que la région Centre- Val de Loire, et la Corse.” La particularité de ce territoire est quʼil est fait dʼun ensemble de petites communes de moins de 500 habitants. Un Bourguignon- Franc-Comtois sur cinq y vit.

gnon pointe à la troisième place. Il sʼagit de la Côte-dʼOr qui a vu sa population croître de 8 153 personnes, ce qui correspond à une progression de 1,56 %. La réalité est moins vertueuse pour les cinq autres départements qui voient au mieux leur popu- lation augmenter légèrement (+ 0,17 % pour Haute-Saône, soit 408 habitants de plus), et au pire, qui la voient diminuer. Cʼest le cas de lʼYonne qui perd 876 habi- tants (- 0,26 %) et du Jura (- 0,09 %, 238 habitants). La Nièvre est le département le plus mar- qué par la baisse du nombre

dʼhabitants en Bourgogne- Franche-Comté. Ce département en perd 5 432, soit un recul de 2,46 % sur cinq ans. Malgré tout, la population globa- le de la nouvelle région augmente de 0,62 % (+ 17 264 habitants) pour sʼétablir à 2 819 783 millions dʼhabitants. Mais cette croissan- ce démographique est molle (par comparaison, elle est de + 4 % en Auvergne-Rhône-Alpes, et de + 4,87 % en Languedoc-Rous- sillon-Midi-Pyrénées). “Elle est due au solde naturel. Le fait que la croissance soit si faible est le signe que la région est globale-

“La faible attractivité migratoire s’est inversée.”

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Morteau Manque de neige : peu d’impact sur les saisonniers

la vitesse maximale qui sera atteinte au Meix-Musy restera inférieure à celle obtenue sur les pistes de Vars ou des Arcs où les skieurs tracent autour de 200 km/h. Ce n’est pas un hasard si la Fédé- ration F.F.S. a décidé d’organiser les championnats de France de ski de vitesse au Meix-Musy. “La compétition était initialement prévue dans les Pyrénées. Fina- lement, cela s’est révélé impos-

Le 13 février, se dérouleront au Meix-Musy les cham- pionnats de France de ski de vitesse. Une première pour la piste du Haut-Doubs qui est en passe d’obtenir son homologation en vue de ce rendez-vous.

E n moyenne, la station de ski du Meix Musy à Morteau ouvre 56 jours par an. La pire année fut la saison 2006-2007 avec seulement 9 jours d’ouverture. Dans ce contex- te, elle ne peut pas promettre à des saisonniers un emploi durable et rémunéré durant la période hivernale. Comme beau- La station de ski du Val de Morteau emploie trois per- sonnes pour l’entretien, la sécurité, la vente de for- faits. Elle n’embauche pas de saisonniers mais des agents qui cumulent une double activité en période d’affluence.

L apistedeMeix-Musygagne seslettresdenoblesse.Elle est enpassed’être homo- loguée par la Fédération FrançaisedeSkienvued’accueillir, le samedi 13 février au matin les championnats de France de ski de vitesse. Dominick Jechoux, res- ponsable duskidevitesseauComi- téMont-Blancetreprésentantdela commissionnationaledeskide vites- se, est venu sur place à plusieurs reprisespouranalyserles caracté- ristiques techniques du site où se dérouledepuisquatreansleXspeed Ski Tour (voir page 40). “J’ai été invité à la première édition de cette manifestation. C’est com-

me cela que j’ai découvert cette piste qui a un joli potentiel” dit- il. Le Meix-Musy c’est : 400 mètres de descente, 120 mètres de dénivelé et une pente qui atteint un maximum de 50 %.

Le record de vitesse atteint dans le cadre du Xspeed Ski Tour est de 140,07 km/h. Dominick Jechoux estime qu’il peut être battu le 13 février. “J’ai demandé à ce qu’on

sible. On s’est dit : pour- quoi ne pas l’organiser au Meix-Musy ? En plus, cela devient très difficile de telles compétitions dans les grandes stations. Aux Arcs par exemple,

“J’ai demandé à

ce qu’on relève le départ.”

Le Meix Musy enneigé début janvier mais pas encore assez pour ouvrir l’alpin. Les salariés patientent.

relève le départ. On ne va pas le battre de 10 km/h, mais on peut arriver raisonnablement à 143 km/h” affirme le spécia- liste. La descente est rapide mais

il n’y a plus de piste de vitesse et celle de Vars accueille déjà de grands événements” observe Dominick Jechoux qui espère que la plupart des skieurs de l’équipe de France masculine et féminine de la discipline feront le déplacement dans le Haut- Doubs. Pour les besoins de la compé- tition, des mesures exception- nelles de sécurité seront prises pour sécuriser le parcours notam- ment à hauteur du bosquet d’arbres situé en bas de la pis- te. “J’ai fait une demande pour qu’il soit coupé” remarque Domi- nick Jechoux. S’il ne l’est pas d’ici le jour J, la présence de ces sapins n’est toutefois pas de nature à remettre en cause l’homologation de la piste du Meix-Musy.

munes dispose de deux perma- nents qui gèrent l’aménagement touristique été et hiver. L’hiver, ils sont au Meix Musy pour pré- parer les pistes, la billetterie… L’été, ils gèrent les itinéraires de randonnée ou de V.T.T. À partir du 15 novembre, ces

munes. Lors des périodes de vacances scolaires où la neige est géné- ralement au rendez-vous, ce sont environ 20 personnes qui viennent prêter main-forte à l’équipe. “Ce sont en majorité des retraités, agriculteurs, bûche- rons qui ont le droit de cumu- ler une double activité. C’est de la prestation de service. Une façon pour ces personnes de mettre du beurre dans les épi- nards mais en aucun cas nous ne pourrions leur garantir une activité suffisante” poursuit la station. La saison dernière, Morteau avait ouvert 65 jours contre 94 jours en 2012-2013. C’était un record.

coup de stations de moyenne montagne, elle travaille avec l’appui de prestataires de service qui sont des retraités, des agriculteurs, bûche- rons, débardeurs, qui

deux salariés perma- nents payés par la col- lectivité sont renforcés par l’arrivée d’un pisteur dont le contrat court jus- qu’au 15 mars. Il est chargé de damer les

“Mettre du beurre dans les épinards.”

viennent donner un coup de main quand les conditions sont réunies. Ils sont payés à la pres- tation de service, à la tâche. En revanche, la station gérée par la communauté de com-

pistes, assurer la sécurité. “ Si vraiment il n’y a pas de neige durant tout l’hiver, alors nous lui trouverons du travail sur les sentiers pédestres” concè- de la communauté de com-

Le “grand Meix-Musy” devient une piste de référence.

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V A L D E M O R T E A U

Du papier qui vaut de l’or Depuis dix ans, les bénévoles de l’Age d’Or à Morteau trient les papiers. L’argent gagné grâce à ce service permet à l’association de financer des actions au bénéfice des résidents de l’E.H.P.A.D. Association

M i-décembre, dans la cour de l’hôpital de Morteau, les bénévoles de l’association l’Age d’Or ont assisté à l’enlèvement de la cen- tième tonne de papiers qu’ils ont trié cette année. Chaque mois, c’est une douzaine de

tonnes de journaux et autres prospectus qu’ils collectent, trient, empaquettent, chargent, et expédient à Pontarlier via une filière bien rodée. Le syn- dicat de traitement des déchets, Préval Haut-Doubs, leur met à disposition une benne qui, une

fois remplie, est acheminée à l’entreprise Armstrong qui recycle les papiers à des fins industrielles. Le ballet qui dure depuis dix ans rapporte à l’association 70 euros par ton- ne livrée. “Nous sommes 16 per- sonnes, toutes bénévoles, à nous

Les bénévoles de l’équipe du tri de l’Age d’Or assurent à tour de rôle une présence quotidienne pour collecter les papiers.

occuper de cela” annonce André Bono, le président de l’Age d’Or qui réunit une quarantaine de membres. Les recettes ainsi générées permettent à l’association de financer des

Il n’y a pas de répit pour les trieurs engagés dans cette action de solidarité. À tour de rôle, ils se relaient quotidiennement dans l’ancien corps de garde, une petite maison située à l’entrée de l’hôpital où les gens viennent dépo- ser leurs papiers. Sous l’impulsion de Noël Tyrode, la cheville ouvrière du tri, l’affaire a pris un rythme industriel. Nombreux sont les particuliers à avoir pris l’habitude de dépo- ser leurs vieux papiers à l’hôpital à tel point que le réseau de col-

lecte a largement dépassé les limites du Val de Morteau. Tout au long du mois, la “maison du tri” se remplit de piles de jour- naux prêtes à être expédiées. Malheureusement, les trieurs déplorent toujours l’indélicatesse de certains particuliers qui n’hésitent pas à leur déposer des habits usés, ou pire, des pou- belles. Pourtant, l’affichette col- lée sur la façade du bâtiment rappelle clairement les papiers qui peuvent être triés. À moins de pas savoir lire, ou à être de mauvaise foi, il est impossible de se tromper.

actions au bénéfice des résidents de l’E.H.P.A.D. de Morteau et des malades. “Dès qu’on nous sollicite pour une

Des petites touches de bonheur

animation, ou pour du matériel, on répond” poursuit André Bono. Par leur action, ces bénévoles apportent des petites touches de bonheur dans l’établissement tout au long de l’année.

Le remplissage de la benne est méthodique.

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Argent public Tout sur le revenu de nos parlementaires L’organisation “Transparency International France” a décortiqué les revenus des députés et des sénateurs français. Hormis les revenus liés à son mandat, c’est le député Frédéric Barbier qui touche le plus de reve- nus annexes. La Bisontine Barbara Romagnan ferme la marche, Annie Genevard est cinquième.

En bref…

Villers-le-Lac LʼUnion des commerçants de Villers-le-Lac et le comité des fêtes organisent la fête des enfants le samedi 16 janvier dès 14 heures à la salle des fêtes. La ludothèque sera pré- sente pour lʼorganisation et la mise à disposition de jeux en tout genre. Une disco junior fera danser petits et grands et la galette des rois géante fera la joie de tous les gourmands. Exposition Le Pays Horloger prépare une exposition itinérante qui racon- tera ce territoire pour cet été. Pour le besoin de ce projet par- ticipatif, il est demandé aux habi- tants du Pays Horloger de pro- poser un objet, un document, une photo, un film, une musique, ou tout autre chose qui pour- rait contribuer à renforcer lʼintérêt de “lʼexposition-portrait” du Pays Horloger qui démarrera le 30 juin au Château Pertusier. Sport La 3 ème édition de la G.T.J. 200 aura bien lieu les 4 et 5 mars. La course partira de Giron dans lʼAin pour se terminer au Meix- Lagor, sur la commune de Mont- lebon, soit un parcours de 200 kilomètres. Cette course a été fondée par Patrick Bohard, de Villers-le-Lac.

La députée du Haut- Doubs Annie Genevard déclare par exemple 21 106 euros de revenus annexes en plus de ses revenus de députée (photo A.N.).

A vec sonmandat de mai- re deMorteau, la dépu- tée du Haut-Doubs Annie Genevard décla- re percevoir 21 106 euros de reve- nus annexes par an, soit 1 758 euros par mois qui viennent s’ajouter à son indemnité nette de 63 600 euros par an (5 300 euros par mois) liée à son mandat de député.AinsiAnnieGenevard per- çoit-elle 7 058 euros parmois avec ses deuxmandats électifs.Devant la Haute autorité pour la trans- parence de la vie publique, la députée duHaut-Doubs a égale- ment déclaré détenir 25%du capi- tal de la S.E.L.A.R.L. Genevard- Vuilley. Dans ce tableau dressé par l’O.N.G.“Transparency”,Mada- me Genevard arrive ainsi en cin- quième position des huit parle- mentaires duDoubs aux revenus annexes les plus élevés (hors reve- nus liés à son mandat de parle- mentaire). “L’exploitation des déclarations d’intérêts permet de fournir des informations objec- tives sur ceux qui nous représen- tent et de dissiper certaines idées reçues. En effet, sur l’ensemble

des 925 députés et sénateurs, 55 % n’exercent pas plus d’une activité en parallèle de leur man- dat, dont 307 qui n’en déclarent aucune” indique l’organisation Transparency. Le premier des parlementaires du Doubs déclarant les revenus annexes les plus élevés est le député socialiste Frédéric Bar- bier. Comme tous les députés, il a perçu 63 600 euros nets en 2015 et à côté de cela, l’élu montbéliardais a perçu 37 100 euros au titre de sa pro- fession de cadre E.R.D.F-

tant que médecin, une activi- té qu’il a conservée à temps par- tiel. À la date de son élection en tant que député, Éric Alauzet touchait encore 31 200 euros par an en tant que vice-prési- dent du Conseil général du Doubs, 6 000 euros par an en tant que conseiller municipal délégué de Besançon (il conti- nue à les percevoir), 11 400 euros par an en tant que président du Sybert et 9 000 euros par an en

soit 30 191 euros par an de reve- nus annexes en plus de ses reve- nus de sénateur. Suivent dans le classement du Doubs Martial Bourquin avec 27 845 euros par an de revenus annexes, le séna- teur Jacques Grosperrin (3 060 euros par an liés à son mandat de conseiller municipal d’opposition). Les deux seuls parlementaires du Doubs à ne déclarer aucun revenu annexe sont le député L.R. Marcel Bon- not et la députée socialiste Bar- bara Romagnan, farouche par- tisane du mandat unique. L’organisation Transparency est allée plus loin encore dans l’analyse. Selon cette dernière, “certaines activités, bien qu’exercées par une minorité de parlementaires, engendrent des risques importants de conflits d’intérêts. L’outil permet par exemple d’identifier 79 parle- mentaires (8,5 %) qui perçoivent plus de 50 000 euros par an de revenus annexes, dont 18 qui per-

çoivent plus de 100 000 euros. Concernant les cumuls d’activités, 71 parlementaires (8 %) décla- rent plus de 5 activités annexes. Au total, 3 % des parlementaires (14 sénateurs et 9 députés) décla- rent plus de 10 activités annexes, dont 6 qui en cumulent plus de 20.” Le “pompon” est atteint par le sénateur Serge Dassault qui cumule 22 activités annexes qui lui rapportent 655 082 euros par an de revenus annexes. En matière de cumul des man- dats, on constate que plus de 70 % des mandats et fonctions électives déclarées sont des fonc- tions exécutives locales (maires, présidence et vice-présidence de Conseil régional, départemen- tal, d’intercommunalités, de syn- dicats mixtes…). Les parlemen- taires sont donc encore peu nom- breux à anticiper la loi qui inter- dira, à partir de 2017, le cumul entre un mandat parlementai- re et un mandat exécutif local. J.-F.H.

G.R.D.F. À la date de son élection à l’Assemblée Nationa- le en 2015, il déclarait également 23 532 euros par an en tant que conseiller général. Vient ensuite dans le

tant que vice-président de la communauté d’agglomération du Grand Besançon. Le sénateur Jean-Fran- çois Longeot est le troi- sième de la liste : 63 600 euros par an en tant que sénateur,

Le premier est le député socialiste

Frédéric Barbier.

classement le député écologis- te Éric Alauzet : il a perçu lui aussi en 2015 la somme de 63 600 euros en tant que dépu- té et a déclaré également 42 000 euros pour l’année en

auquel il convient d’ajouter 16 325,40 euros par an en tant que maire d’Ornans et 13 865,76 euros par an en tant que président du Syded du Doubs (syndicat d’électricité),

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Morteau

La Résidence Audomar toujours en attente de permis Le promoteur de ce projet

À Morteau, il vaut mieux ne pas vendre avant d’avoir le permis de construire. Century 21 qui commercialise le program- me de la résidenceAudomar, petit collectif de 9 logements, a fini par retirer le panneau d’appel ins- tallé au printemps 2015 sur le parking de la rue des Moulinots situé le long de la voie ferrée dans le prolongement d’Espace Mor- teau. Au grand regret du pro- moteur, Christophe Lambert, gérant de la société Art Cad 25 spécialisée dans les activités immo- bilières. “On a d’abord eu des soucis de délimitation de la par- celle avec la S.N.C.F. Cela a duré près de huit mois pour finale- ment nous contraindre à dépo- ser une nouvelle demande de per- mis de construire” indique-t-il. Pensant que l’affaire était enten- due, le promoteur a cru bon d’engager la pré-commerciali- sation avant de se rétracter. Après l’opérateur ferroviaire, immobilier qui doit voir le jour rue des Moulinots où se trouvait la discothèque le Monte Cristo a été contraint de déposer une troisième demande de per- mis de construire, sans cer- titude d’aboutir…

c’est maintenant la commune qui conteste l’avancée du per- mis. “La municipalité qui a semble-t-il d’autres vues sur ce terrain a fait une proposition d’achat à la propriétaire qui a

dable à cet endroit au bord du Doubs, il répond que le projet prend en compte ce critère. “Seul un angle de la parcelle est au bord de la zone inondable. On a obligation de se mettre 20 cm

refusé l’offre. Suite à quoi, on leur a deman- dé quels étaient les points à corriger en vue d’une troisième deman- de de permis qui a été déposée l’automne der-

au-dessus du niveau de la crue de 1910. Tout sera fait dans le respect des règles. Ce n’est pas là qu’il y a blocage” estime le pro- moteur.

La commune conteste l’avancée du permis.

Basé à Houtaud, Christophe Lambert effectuait sa première opération immobilière sur Mor- teau. “Je pense que ce sera la dernière. J’ai du mal à com- prendre pourquoi on nous empêche ainsi d’apporter des solutions au manque de loge-

nier et dont on devrait avoir la réponse fin février” , poursuit le promoteur. Ce dernier n’a pas l’intention de laisser tomber, ayant déjà investi près de 150 000 euros dans cette opé- ration. Sur la question du terrain inon-

ments à Morteau d’autant plus que notre démarche s’inscrit dans une logique de densification qui ne grignote pas du foncier au détriment des agriculteurs.” Affai- re à suivre.

La résidence Audomar rue des Moulinots s’élève sur trois niveaux et comprend neuf logements.

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Aventure La montagne à portée de guides Roc’Émotion, c’est le tout nouveau bureau des guides créé par Yvan Binot et Benjamin Soufflot prêts à vous accompagner pour réaliser vos défis enneigés les plus audacieux.

En bref…

Impôts Nos voisins suisses des Bre- nets réfléchissent à la tenue dʼun référendum contre lʼaugmentation du coefficient fiscal de 10 points dès cette année. Selon nos confrères du journal “LʼImpartial”, lʼéchéance du délai est fixée à fin janvier. Conscrits Le traditionnel “défilé des conscrits” se déroule samedi 13 février à Morteau (centre- ville). Sport automobile Rallye “Neige et glace” du 30 janvier au 3 février. Le 62ème rallye neige et glace va, pendant 900 kilomètres, permettre à des pilotes de sʼamuser sur les routes du Haut-Doubs au départ de lʼhôtel du Lac à Malbuisson. Les spec- tateurs pourront admirer de rutilantes voitures. Plusieurs étapes sont prévues de Mal- buisson (le 30 janvier), en pas- sant ensuite par le Val de Mor- teau, la forêt de Joux, autour de Malbuisson et de Pontar- lier le mercredi. Lʼarrivée se déroule sur la place dʼArçon à Pontarlier de 15 heures à 17 heures le 3 février. Accès libre pour les spectateurs qui peuvent admirer les voitures.

S ki de rando, free-ride, ski nordique, cascade de glace, raids à ski, rien n’échappe à Roc’Émo- tion qui propose même la spé- léo-glaciaire au menu de ses activités. “On doit probablement être les seuls à le faire. Il s’agit tout simplement d’explorer les dessous d’un glacier en s’aidant des techniques utilisées en spé- léologie” , indique Yvan Binot qui encadre depuis 2008 des sor- ties en spéléo, canyoning ou ran- donnée nordique. En août dernier, il a choisi de

s’associer avec Benjamin Souf- flot, autre Jurassien qui ter- mine sa formation de guide de haute montagne. De quoi ajou- ter une bonne dose d’alpinisme, de ski hors-piste et d’escalade

assez qualitative avec la volon- té de faire du sur-mesure, à des- tination des particuliers, groupes, associations, clubs de randon- nées, comité d’entreprise…” La prestation ne se limite pas

au menu des activités de Roc’Émotion. Sen- sations garanties. La complémentarité s’impose dans ce

à l’encadrement de sor- ties. Roc’Émotion dis- pose de toutes les cer- tifications pour dis- penser des stages et

Créateur d’aventures en montagne.

bureau des guides qui se défi- nit comme “créateur d’aventures en montagne” et offre un panel d’une dizaine d’activités. “On s’inscrit dans une démarche

des formations axées sur la sécu- rité en montagne et qui per- mettent aux pratiquants d’accéder à l’autonomie dans ce milieu qui peut s’avérer dan-

Yvan Binot et Benjamin Soufflot partagent en commun la passion des sports de montagne.

gereux. “On est agréé par l’Association Nationale pour l’Étude de la Neige et des Ava- lanches” , précise Benjamin Souf- flot. Les sorties nordiques et initia- tions à finalité alpine s’effectuent le plus souvent dans le Jura. “C’est un massif-école où l’on peut s’adonner à des tas de pra- tiques” , poursuit l’aspirant gui- de en signalant qu’il lui est déjà arrivé de faire de la cascade de glace à Bolandoz. Comme quoi… Tous les mercredis de l’hiver, il va proposer du ski freeride aux ados sur les pentes de Métabief. Au programme : apprendre à choisir son matériel, sensibili-

sation aux dangers du hors-pis- te, cours et perfectionnement au ski tout terrain. Suivant les besoins, les deux associés feront appel à d’autres spécialistes. Ils ont conclu un partenariat avec les magasins Sport Aventures de Morteau et Pontarlier. “Cela nous permet d’avoir un référent matériel notamment pour la fourniture des skis car on n’aurait pas les moyens d’investir dans un parc de location.” Yvan Binot tient beaucoup à déve- lopper le ski de rando nordique qui constitue à ses yeux le meilleur moyen pour découvrir le massif jurassien en toute liberté. Vivement la neige.

Programme d’activité sur le site www.roc-emotion.com Roc’Émotion : 06 81 62 49 21

Le ski de rando nordique ou back-country reste l’un des meilleurs moyens de parcourir le Jura des neiges en toute liberté.

BAISSE D’AUDITION ? La solution en 5 étapes Les problèmes d’audition dus à l’âge sont fré- quents. Aujourd’hui, plus personne n’est obligé d en souffrir car il existe des solutions adaptées à chaque personne, quels que soient son âge, son degré de perte auditive, son style de vie ou son budget. Mais peu d’entre vous connaissent les dé- marches à entreprendre. Voici les 5 étapes à suivre pour retrouver vos capacités auditives au plus vite. 1/ consulter un ORL SRXU FRQÀUPHU YRWUH perte d’audition et obtenir une prescription 3UHQGUH UHQGH] YRXV FKH] XQ 25/ HVW OD SUHPLqUH FKRVH j IDLUH ,O YRXV IDLW SDVVHU XQ ELODQ DXGLWLI FRP - SRUWDQW XQ H[DPHQ GH OҋRUHLOOH HW XQ WHVW GҋDXGLWLRQ DÀQ GH FRQÀUPHU YRWUH SHUWH DXGLWLYH /H PpGHFLQ 25/ YRXV GpOLYUH HQVXLWH XQH SUHVFULSWLRQ GҋDLGH DXGLWLYH j UHPHWWUH j OҋDXGLRSURWKpVLVWH YRXV UHQGUH FKH] XQ DXGLRSURWKpVLVWH SRXU être informé et conseillé sur les solutions 6SpFLDOLVWH GH OҋDSSDUHLOODJH DXGLWLI WLWXODLUH GҋXQ GL - SO{PH GҋpWDW OҋDXGLRSURWKpVLVWH HVW OD SHUVRQQH TXL YRXV DFFRPSDJQH GH ERXW HQ ERXW GDQV OH FKRL[ HW OҋDGDSWDWLRQ GH YRWUH DLGH DXGLWLYH ,O SUHQG GҋDERUG OH WHPSV GH YRXV pFRXWHU HW GH YRXV SUpVHQWHU OHV GLI - IpUHQWV W\SHV GҋDSSDUHLOV LQWUD DXULFXODLUHV FRQWRXUV GҋRUHLOOHV SXLV LO YRXV FRQVHLOOH HQ IRQFWLRQ GH YRWUH SHUWH GҋDXGLWLRQ HW GH YRV EHVRLQV SHUVRQQHOV 3/ procéder à votre appareillage FKH] YRWUH DXGLRSURWKpVLVWH /ҋDSSDUHLOODJH QpFHVVLWH SOXVLHXUV YLVLWHV 9RWUH DXGLRSURWKpVLVWH UpDOLVH GҋDERUG XQH HPSUHLQWH GH FKDFXQH GH YRV RUHLOOHV HW SUpSDUH HQVXLWH YRV DLGHV DXGLWLYHV /RUV GH OD YLVLWH VXLYDQWH LO OHV SODFH GDQV YRV RUHLOOHV HW SURFqGH VXU YRXV j GLIIpUHQWV DMXVWH - PHQWV HW UpJODJHV ,O YRXV GRQQH pJDOHPHQW WRXWHV OHV LQVWUXFWLRQV SRXU OҋXWLOLVDWLRQ HW OҋHQWUHWLHQ GH YRV DSSDUHLOV 9RXV YRLOj pTXLSp

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