tUl'tÉ
CHAPITRE SEIZU':ME.
De•
Wl"•lta
à
l'f:an - de-
VIe.
Parmi les produits du Liquodste, les fruits
à
l'eau~e'1ie ont acquis, depuis plusieurs années, une certaine
importance,
til
leur consommalion s'augmente de j<mr
en jour. Paris el plusieurs grandes .\Tilles da France en
fournissent des quantités considérables, surtout depuis
la création des nombrelll établissements de Liquoristes–
Débitanls
1 ,
à l'instar de celui de la place de l'Ecole,
à
Paris, connu sons le nom de
la mère Moreauz,
et
dont la réputation, pour
l~s
prunes et les chinois, est
uni'7erselle.
La
fabrication des fruits à l'ea1J-de-vie, ainsi que celle
des liqueurs, est une spécialité qui exige des connais–
sances particulières et des soins minutieux; elle demande
aussi le concours de diverses opérations, connues sous
les noms de :
préparation, blanchiment
et
con(ectûm.
• 1
Le debit do liqueurs doit-il noir k Pari1 l'importance que aemble pn-
• meure l'ounrlure des lu1neu1 établi11emenh dau1 les diven quartien ?..•..
• Cet élab\iuemenh n'y répondent k aucun besoin et ne sont rr6qurntn qM
• par des bU.ituéa d'une 1oci•111 Fort peu recben:bée, ou par des cariev1.
Le
• luie Je ces mai10111, l'aurait qu'elles prmnlent par dei femmes jeunea
et
• sédui1an1es, prounnt que ce 11'est pu une iodu11rie k l'état normal•.• •
(
Tablea•
tû
Paril,
par
A. Jeuulel. 1