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GROUPE CRÉDIT COOPÉRATIF

DOCUMENT DE RÉFÉRENCE

2016

25

1

RAPPORT DE GESTION

DU CRÉDIT COOPÉRATIF

RAPPORT

DU PRÉSIDENT

LES COMPTES

DU CRÉDIT COOPÉRATIF

INFORMATIONS

COMPLÉMENTAIRES

Organes d’administration, de direction et de surveillance

1.1.5

Les commissaires aux comptes

Le contrôle des comptes de la société est exercé par deux commissaires

aux comptes titulaires et deux commissaires suppléants, nommés pour

six exercices par l’Assemblée générale ordinaire et exerçant leur mission

dans les conditions prévues par la loi.

Leur mandat viendra à échéance lors de l’Assemblée générale ordinaire

appelée à statuer en 2019 sur les comptes de l’exercice clos le

31 décembre 2018.

Les honoraires des commissaires aux comptes sont fixés dans les

conditions prévues par les dispositions réglementaires.

Les commissaires aux comptes sont investis des fonctions et des

pouvoirs que leur confèrent les dispositions légales et réglementaires.

Ils sont convoqués à toute Assemblée de sociétaires au plus tard lors

de la convocation des sociétaires.

Les commissaires aux comptes doivent être convoqués à la réunion du

Conseil d’administration au cours de laquelle sont arrêtés les comptes

de l’exercice. Ils peuvent être convoqués à toute autre réunion du

Conseil d’administration où leur présence paraît opportune.

Commissaires aux comptes

Nomination par

l’Assemblée

Échéance du mandat à

l’Assemblée générale

Associés responsables du

dossier au 31/12/2016

Adresse

TITULAIRES

KPMG Audit FS I

2013

2019

Xavier De Coninck

Tour EQHO – La Défense

2 avenue Gambetta CS60055

92066 Paris La Défense

SOFIDEEC « Baker Tilly »

2013

2019

Pierre Faucon

138 Boulevard Hausmann

75008 Paris

SUPPLÉANTS

KPMG Audit FS II

2013

2019

Malcom Mc Larty

Tour EQHO – La Défense

2 avenue Gambetta CS60055

92066 Paris La Défense

BBM « Baker Tilly »

2013

2019

Eric Bacci

215 route de Montava

BP52 Argonay

74371 Pringy

1.1.6

Politique de rémunération

1.1.6.1

La politique de rémunération

en vigueur

La politique de rémunération s’inscrit dans le cadre stratégique du

Groupe Crédit Coopératif et dans ses valeurs coopératives. Elle est

également empreinte des éléments apportés par le Groupe BPCE au

travers des accords de branche complétés des accords locaux.

Au sein du Groupe Crédit Coopératif, les rémunérations fixes sont

définies en respectant des salaires minima par niveau de classification,

correspondant aux minima de la convention collective nationale de la

Branche Banque Populaire, majorés de 5 %.

Elles sont adaptées au regard du niveau de compétence, de responsabilité

et d’expertise de chaque collaborateur.

En sus de leur rémunération fixe, les salariés bénéficient de dispositifs

de rémunération variables, définies en fonction des activités et des

responsabilités exercées.

Les règles particulières applicables à la population régulée sont

examinées infra dans le présent rapport (voir point 1.1.6.3.).

De manière générale, les collaborateurs du siège sont susceptibles de

bénéficier de primes variables de résultat, en fonction de l’évaluation

de leur activité de l’année écoulée par leurs managers.

Le réseau des agences bénéficie d’un Système de Rémunération Variable

spécifique :

|

basé sur des critères quantitatifs et qualitatifs définis en fonction d’une

grille adaptée à chaque métier ;

|

donnant lieu à une prime forfaitaire dont le montant varie en fonction

de la réalisation ou du dépassement des objectifs, selon les métiers

concernés.

Par ailleurs, les collaborateurs bénéficient d’accords de participation et

d’intéressement.

S’agissant de la participation, le montant des droits susceptibles d’être

attribués à un salarié ne peut, pour un exercice, excéder une somme

égale au trois quarts du plafond annuel de la sécurité sociale (soit

28 962 euros pour un plafond annuel de 38 616 euros en 2016).

Le montant global de la réserve spéciale de participation est plafonné

à la moitié du bénéfice net comptable.

S’agissant de l’intéressement, le montant attribué à un salarié ne peut,

au titre d’un même exercice, excéder la moitié du plafond annuel

de la sécurité sociale (soit 19 308 euros pour un plafond annuel de

38 616 euros en 2016).

L’intéressement global ne peut excéder 20 % du total des salaires bruts

versés dans l’exercice aux salariés concernés.