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LES LIQ

TR s

DE TABLE, e1c.

25

binée.

Si

donc , dans que q ne cÏ "c.mst;tnce

particulière, on veut se servir d' au-c e-vie

do

1

ble, on court le risque que l'eau-de-vie

ne sera pas xacternent comparable

à

l'eau-de-

·ic simple, et que la liqueur a besoin d'ètre

long-tems en mélange avant d'acquérir le ton

de saveur agréable qu'aurait la même liqueur

faite avec l'eau-de-vie sans mélange; en sorte

que l'on peut donner ·1a préférence

à

l'eau–

de-vie simple.

Ce qu'il y a

à

dire sur l'esprit-de-vin, tient

aux observations faites sur l'eau-de-vie; car

dans ses plus grands degrés <le rec tification ,

cet esprit participe toujours des bonnes ou

mauvaises qualités de l'eau-de-vie , dont

il

est tiré : ajoutons seulement, qu'à degré égal

de reclification, il faut donner la préférence

à

l'espèce d'esprit-de-vin qui est passé le

p remier dans la distillation.

J'observe que les eaux-de-vie de ciclre ,

de pojré et de grains, sont absolument im:om–

patiblcs ayec toute

esp~ce

de liqueur.

·De l'Eau.

Quant

à

l'eau , quelque simple que paraisse

cet ingrédient, quelque facilité qu'on puisse

avoir de s'en procnrer rle pure , on ne sau-