DIS LIQUIVBS.
d'un cercle-collet,
a
et
b,
en cuivre tourné; l'un s'adapte
soit au bain-marie, soit
à
la cucurbite, et l'autre reçoit
le col de cygne. Une douille ,
c,
semblable à celle de
la cucurbite et pour le même usage , se trome placée
aux deux tiers de la hauteur du chapiteau.
-1°
Le
COL DB CYGNE
(fig.
6), est un long tuyau en cui–
ue formant le demi-cercle et garni à chaque bout d'un
cercle-collet,
a
et
b.
ll sert à mettre en rapport l'alambic
avec le serpentin. Le
MANCHON
(fig.
7)
est une pièce en
étain ou en cuivre avec petits cercles en laiton, qui
sert à relier le col de cygne avec le serpentin, lorsqu'on
distille au bain-marie.
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0
Le
IÉFBIGÉRAl\'T
ou
SBRPINTll'C
(fig.
8)' consiste en
un long tuyau d'étain ou de cuivre étamé courbé en hé–
lice ,
a
,
dont les pas,
b,
sont soutenus par des trin–
gles perpendiculaires,
c,
d'étain ou de cuivre qui y
sont soudées : l'extrémité supérieure du serpentin qui
vient se joindre au col de cygne , par un cercle-col–
let,
d,
a la forme d'une sphère aplatie,
e,
et s'ap–
pelle
lentille.
Le
tout est renfermé dans un
seau, (,
de
cuivrè, garni de deux poignées ,
g,
au bas duquel
il
y
a une ca.nelle. L'eau chaude du réfrigérant coule
par un tuyau ou
trop-plein, h,
qui est placé dans le
haut de ce vase. L'intérieur du seau reçoit un long
entonnoir
(fig.
9)
en cuivre qui le dépasse un peu el qui
sert à conduire l'eau fraîche au fond. Il porte le nom
d'entonnoir
à
rafraichir.
Le
bec
à
corbin
(fig.
iO)
s'ajoute
à
l'extrémité inférieure du serpentin , afin de mettre
ce dernier en rapport avec le récipient. (On nomme
récipient
le vase qui reçoit le produit de la distilla–
tion ; ce
v.i.seest en verre ou en cuivre , au gré du