TRAITÉ
transmission de la chaleur dans le liquide , et consé–
quemment retarderaient l'opération.
Par l'application de la vapeur à la distillation, l'usage
du bain-marie dc,·ient complétemcnt inutile.
De
la
construction des appareils distillatoires dépend
sou,ent la qualité des produits. On devra donc s'atta–
cher
à
les faire construire on les choisir dans les meil–
leures conditions , el à cet égard nous recommandons la
fabrique de M. Egrot fils , de Paris. Ses appareils, con–
struits.d'après le:1 plus stricts principes de la distillation,
sont
à
la fois solides et gracieux : leur prix n'est vérita–
blement pas en rapport avec les grande avantages qu'ils
procurent. Ausai n'hésitons-nous pas
à
dire que
M..
F.grot
fils a
porté
son art au dernier de.gré de perfection.
Be•
Yaaea
et
IJ•~••llea.
Après les alambics , qui font le sujet du paragraphe
précédent , el les aréomètres et thermomètres , dont
nous parlerons dans le deuxième volume (
DùliUa–
tion des Alcools)
,
il
nous reste à traiter des vases el
ustensiles dont doit être pourvu le laboratoire d'un
Li–
quoriste.
Plusieurs
bassinu
en cuivre roul(c, de diverses gran–
deurs, tant pour
la
fonte ou
la
clarification des sucres
que pour la confection des sirops el des fruits au liqui<IP-




