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LES LIQUEURS DE_TABLE,
etc. 145
munes par infusion et sans distillation,
est
sans contredit la plus ancienne; quoique ex–
trêmement simple, elle a cependant des avan–
tages bien réels ; la dépense en est rarernent
considérable , et les soins qu'elle exige sont
encore moindres. Pour peu qu'on veuille être
attentif, on parviendra
à
faire des liqueurs
non-seulement supportables , mais encore
délicieuses.
11
est bien vrai que l'on ne doit
pas se flatter d'atteindre par ce moyen jusqu'à
la
délicatesse des liqueurs fin es , mais c'est de
quoi bien des gens s'inquiètent peu; pourvu
qu'on leur épargne la p eine et la dépense, ils
sont assez con ens. Nous voudrions pouvoir
les servir
à
leur gré , au point rnème de les
exempter de lire aucun avis préliminaire ;
mais comme cet excès de complaisance pour–
rait les exposer
à
travailler au hasard et
à
pure
perte, nous les invitons
à
jeter un coup d'œil
sur les observations sûivantes :
1.
Ne faites vos infusions que dans des vases
de verre, ou du moins dans des cruches de
grès; les vaisseaux de faïence seraient parfai–
tement bons, nlais rarement on en trouve
d'assez commodes; surtout gardez-vous bien
de vous servir d'aucun vase de métal , de
cuivre, par exemple, d'étain, ni même
de
fer-blanc.
~
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