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LES LIQUEURS DE TABLE'
etc.
14.9 ,
core qu'au bout <l'un certain tems
la
chausse
s'empâte, alors
la
liqueur ne passe plus <ln
tout. Le seu] moyen que je connaisse pour
remédier
à
cet inconvénient, c'est de chan–
ger de chausse ou de laver promptement celle
qui a servi. Faites attention en
la
lavant de
ne la point tordre, contentez-vous de la pres–
ser en long' le plus qu'il sera possible.
VIU.
Puisque le girofle et le macis, auasi
bien que la cannelle , entrent dans presque
toutes les infusions simples , ayant ample–
ment parlé de cette dernière épice, nous ju–
geons qu'il est nécessaire de parler également
des deux autres, avant que <l'entrer dans
aucun détail particuJier.
Le clou de girofle
~st
ainsi nommé, parce
qu'il a toute la figure d'un petit clou_; il nous
vient des îles Moluques. L'arbre qui le pro–
duit n'exige aucune culture;
il
est grand
comme un laurier ordinaire , sa feuille res-
emble beaucoup
à
la
feuille de saule, mais
elle a l'odeur et Je goût du girofle; les
ran–
ches sont en assez bon nombre, sans aucun
ordrû ni symétrie. On voit constamment sur
l'extrémité de chaque branche une fleur, et
ces fleurs se trouvent encore en grand nom–
bre dans toutes les insertions des feuilles ;
elles paraissent d'abord blanches, elles chan-