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vrir
LES LIQUEURS DE TABLE,
etc.
161.
ouvrir vos cruches avant le mois de novem–
bre. Pour lors, g,oûtez votre ratafia; s'il
y
manque quelque chose , vous
y
remédierez ;
s'il est parfaitement clair, et
à
son point de
perfection, vous verserez
1a
partie limpide
dans une
nouv~lle
cruche, et vous passerez
la partie troubfe par la chausse , que vous,
ajouterez ensuite au reste , après quoi vous
le mettrez en bouteille.
Les arbres qui produisent les fruits dont
nous venons de parler, sont si connus, qu'il
serait ridicule d'en donner
la
description ;
mais parce que ces fruits sont tous originai–
rement
assez rafraîchissans, on aurait tort de
conclure que le ratafia qui en provient pos–
s~de
la même qualité. Ces fruits ont vérita–
blement changé de nature, tant par la fer–
mentation qu'ils ont subie , que par leur mé–
lange avec l'eau-de-vie, le sucre et les épices.
Je
ne
connais, au ratafia de fruits rouges,
aucune propriété médicale bien
déci~ée.
Ratefi,a d'Œillcts.
Quoiqu'en général tous les œillets puis.se.nt
passer pour variétés les uns des autres , ils ne
so~t
cependant pas tous également propres
à
faire le
l'atatia
quj
porte ce
nom;
je
n'en con·
L