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faiblir. Quand ce moment sera arrivé, adap–
tez un nouveau matras, et distillez tout ce
qui pourra sortir de l'alambic. Cette seconde
eau ne sera pas ,
à
beaucoup près , aussi
oaorante que
la
première ' mais enfin el e
ne sera pas sans quelque mérite, vous pourrez
la
réserver
à
part pour certaius
usages~
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pourra se faire , surtout si vos fleurs sont
bien rernplies d'esprit recteur, il pourra se
faire , dis-je, que vous remarquiez comme
une espèce de graisse qui nagera
à
la surface
de l'eau odorante que vous aurez distiliée;
ne vous
y
trompez pas , c'est le n éroli, ou
l'huile essentielle de fleurs · d'orange , que
vous aurez soin de recueillir de
la
manière
que nous l'avons tlit dans les principes gé–
néraux , et de mettre
à
part clans un flacon
<le cristal cette huile dont nous aurons oc–
casion de parler dans son terns.
i vous ne voulez distiller qu'une eau de
fleurs d'orange simple, prenez quatre livres
de fleurs d'orange , mettez - les dans une
cruche de grès' sans les eplucher' ajoutez
neuf pintes d'eau, mettez le tput eu macéra–
tion pendant vingt-quatre heures , après quoi
versez ce qui est dans
la
cruche de grès dans
une cucurbite de métal un peu ample,; placez
la
cucurbite sur un. fourneau
à
feu onvert ,