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LES LIQUEURS DE TABLE'
etc. 39
solution
à
froid du sucre dans l'eau, chacune·
de
~es
molécules peut bien être rendue fluide;
mais le fluide dans lequel elles nagent n'en
est pas uniformément chargé, et, d'autre
part, quelles qhe soient les parties constiol
tuantes du sucre, elles ne sont pas divisées,
développées , comme
il
paraît qu'elles
Je
sont
dans la troisième méthode que nous allons
décrire.
On prend
la
quantité de sucre
qui
doit en–
trer dans une dose de liqueur, et la quantité
d'eau qui
y
est p1'escrite; on les met dans une
bassine bien propre, et on leur fait prendre
ensemble un bouillon ou deux : il s'en faut
de beaucoup que , dans
la
plupart des cas ,
le liquide qui en résuhe puisse être appelé
sirop, si l'on ne doit donner ce nom qu'aux
liqueurs chargées de deux parti,es de sucre,
contre une de fluide; mais, par unè exten–
sion très-permise, quelle que soit la consis–
tance de ce fluide, les liquoristes l'appellent
leur sirop.
Lors
même que l'on prend de
la
cassonade au lieu de sucre, comme on doit
la
choisir blanche ,
il
est très-rare
qu'il faille
la
clarifier au blanc d'œuf; comme le total
oit être filtré,
la
ciariGcation deviendrait
une opération superflue, qui pourrait même
étruire un
peu
de
la viscosité dtt sirop.