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LES I:IQUEURS DE TABLE ,

etc.

4t

n.u

sique, sans blâmer ahsolument la première '

est

je ne dissimulerai pas que .la seconde mérite

le

la

préféi·ence.

ite

C'est après le mélal).ge fait, et avant la

fil-

a-

tration, qu'un bon liquoriste

doit

bièn exa-

lCe

miner sa liqueur, pour voir si le résultat en

r-

est aussi parfait qu'il le désire;

il

doit toujours

ès

avoir dans son laboratoire une provision de .

les

matières pro res

à

y

faire les corrections qu'.il

lS.

jugera nécessaires.

fl

lui est facile , en con-

tes

séquence, de remédier aux iuconvéniens qu'il

ur

pourrait

y

rencontrer; ainsi, par exemple ,

Ul'

s'il ne croit pas sa liqueur assez aromatique ,

el

il

lui est. possible de faire

in

fuser quelque peu

sse

des inerédiens propres

:.{

cette liqueur;

la

er-

croit -il au contraire trop

aromatique, un e

Sse

nouvelle dose d'eau-de-vie et de sucre,

en

a

1

-

sa-

longeant celle qu'il

a

déjà

foite,

étendra

L

au·

partie aromatique.

Il

en est de même pom·

rs

l'état plus ou moins spiritueux, et pour

la

eut

saveur plus ou moins ucréc. Une pratique

nt

absolument condamnable e ·t celle de faire

du

ère

mélange dans la

ha

.-.ine

011

a

cuit le sirop ;

ne

ces sortes de vases présentent trop de su ·-

ans

f

ce, et

la

première chose qui s'évapore

e~t

de

toujours l'esprit. Le mélange une fois

fait

et

pa·

parfait, digéré

(JU UOil ,

suivant l'idée

du

r-

quoriste, il

proci·dc ;,

~;-i

filtrnlion.