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LES LIQUEURS DE TABLE,
etc. 59
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était à un prix peu élevé, sou a<l<li–
tion ne formait pas une augmentation de dé –
pense sensible , mais ce prix étant triplé au
moins, et le sucre étant devenu pour la France
nne matière en quelque sorte exotique , tous
les efforts de l'industrie doivent tendre
à
en
restreindre la consommation. Le raisiné
qui
en
contiendrait une certaine proportion ces–
serait d'aiJleurs d'être considéré comme uue
conGture populaire,; il n'y en aurait plus
à
la
portée de ton tes les fortunes , les gens aisés
seuls pourraient y atteindre.
Je sais
qu'il
est au pou roi.r de l'art de cor–
riger la mauvaise qualité des vins et de les
améliorer considérablement, par l'emploi du
sucre et du miel ajoutés ayant la fermenta–
tion' et qu'à l'aide de ce moyen on pent
affoiblir leur trop
forle
acidité,; mais très–
heureusernent le raisin des années favorables
à
la vigne n'a besoin nulle part de ce secours:
Augmenter les fabriques de raisiné, dimi–
nuer, pour le présent et pour l'avenir,
la
consommation du sucre , c'est concourir
à
l'intérêt général et particulier•
11
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Choix des Fruits pour le Raisiné.
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Si les difiërentes es1)èces de raisins ne con-
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