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d'eau et de linge mouillé,. pour ra
fraî~llir
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chapiteau; on allµme ensmte un grand feu sous
la chaudière pour la foire. b?uillir,
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lors–
qu'elle est en train ,on la d1mmue peu-a-peu,
par ce ma.yen on
parvie~t
à irer·
1a
,quinte~cence du vin. L'eau-de-vie , pour quelle
s01t
bonne doit être nette et brillante, ni trop b];m–
che
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trop nébuleuse;
il
faut qu'elle pétHle,
qu'ehe mousse lorsqu'on la verse,
~t
qu'elle se
dessèche prompteme.ot sur la mam lorsqu'c n
la frotte. On estime beaucoup les eaux-de-vie
de Coignac, d'Andaye, d'Orléans, etc.
Eau-de-JJie de Pois.
177. 51.
Vous faites tremper pour cet effet
des pois dans l'eau jusqu'à ce qu'ils germent;
vous les pilez ensuite, les faites fermenter dans
un vaisseau bien bouché; au bout de trois mois
vous les distillez, et vous aurez une liqueur
excellente, aussi forte que la plus forte eau–
de-vie d'anis qu'on fait à Londres. Harstf,
Anglais, quî enseigne ce procédé, ajoute que,
si on le suit exactement , on pourra tirer
d'un boisseau de pois jus.qu'à htiit pintes d'eau–
de-vie.
Eau
-
de
-
1.Jie de Figues.
178.
52.
On prend des figues non gâtées,
on les met dans l'alambic avec des substances
communes mêlées ensemble; on en obtient
une eau-de-vie qui se trouve bonne et agréa–
ble. Toutei les expériences qu'on a faites
à
ce