DIS UQOUU.
gane du goût une sensation -vineuse et sucrée plus ou
moins forte, qui sert à en faire apprécier le mérite.
Généralement, les vins de liqueur que l'on renèontre
dans le commerce sont des
mm
facticu
1,
fabriqués,
pour la plupart,
à
Cette el
à
Montpellier; ils sont cons–
tamment le résultat du mélange de différents vins,
d'alcool, de matière sucrée, et d'un
bouquet
extrait
de diverses substances aromatiques, le tout dans des
proportions en rapport avec la nature des vins
à
imiter.
Les éléments constituant les vin• de liqueur
étant
con–
nus,
il
ne s'agit plus que de les réunir
BVf:C
habileté
et
de les aromatiser convenablement pour obtenir de bons
résultats. A cet effet, on emploie diverses préparations,
connues sous les noms de :
sirop
dt
raisin, infusion
dt
noix
vertu,-
id.
dt
coquu d'amandta amèru torréfiiu,
- id.
d'iris
dt
Florence,
-
uprit
dt
framboùu,-id.
dt
goudron.
Avant de faire connaitre les recettes pour imiter les
vins de liq11eur,
il
nous reste à parler de l'esprit de gou–
dron et de l'infusion de coques d'amandes amères torré–
fiées, seuls liquides, pour ces imitations, dont nous
n'ayons pas encore indiqué la préparation.
1
Celle quali&calion nt impropre: œlle de
.,i.,
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1er1it plus con–
•enable, pui1quc
1
quelle qae 1oit la nalure da •in que l'on
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il faut loujoar1 qae le produit toit un mflaap de Tin.